L’immigration est perçue chez nous sous forme d’obligations. Elle est conditionnée par plusieurs causes. La pauvreté, la quête d’une vie meilleure l’espoir d’être un appui pour la famille. Par défaut de moyen, beaucoup privilégient la voie clandestine. Toutefois, ce moyen reste un détroit de la mort. Pour ceux qui arrivent à destination, le miroir brandi dévient une utopie. Dans l’optique de toucher le Graal, tourne à une descente aux enfers pour la plupart de nos jeunes. Ainsi, certains, souvent faibles d’esprit décident de ne plus retourner. Pour ceux qui retournent et bredouilles, sont pour la plupart victimes et de rejet dans une société qui était perçue comme le dernier espoir.
Néanmoins, ce phénomène regorge un aspect socio-économique non-négligeable. Les bénéfices qu’engrangent ces aventuriers sont d’une portée inestimable et pour la balance de l’état et pour les communautés.