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Les motos bourdonnent au pied des façades séculaires, les badauds déambulent entre les étals… Tombouctou vaque à ses occupations sans souci apparent des lendemains sans mission de l’ONU.
Les dizaines de milliers d’habitants de la « ville aux 333 saints » auraient a priori des raisons de s’alarmer d’un départ des Casques bleus et des personnels de l’ONU, demandé vendredi avec fracas par les autorités de la transition. « En fait, je n’ai rien contre le fait que la Minusma parte ou qu’elle reste », souffle Maïmouna Sogoré, une habitante.