Il est 10h et déjà la salle de 200 places du palais de la culture est teintée des couleurs des festivaliers. Pour la deuxième journée, il était question du bureau des droits d’auteur, un institut établi pour labelliser, protéger et garantir les productions de nos artistes. Mais aussi de l’intelligence artificielle qui, au-delà de ses avantages astronomiques, est source de nombreuses tares, une bombe à retardement qui, sans une utilisation efficiente, peut entraîner des conséquences fâcheuses. Ici, ce n’est pas seulement le chant et la danse, mais aussi une classe à part qui s’engage à encadrer, orienter et accompagner les jeunes rappeurs depuis le début de leur carrière.